Le Chevalier véridique de retour à Paris

Le samedi 13 avril 2024, de 11h à 13h, je dédicacerai Le Chevalier véridique au Festival du livre de Paris, au stand de l’Algérie.

Pour autant que je sache, ce sera la deuxième occasion de se procurer le livre en France.

Malheureusement, l’entrée est payante. Grand Palais éphémère, 2 place Joffre, Paris 7e.

Tous les détails ci-dessus disent assez éloquemment quel malentendu il y a entre moi et le commerce de littérature.

La photographie est d’Adel Sayah.

Le Chevalier véridique à Paris

Couverture de livre

Le dimanche 23 avril 2023, de 11h à 12h30, je dédicacerai Le Chevalier véridique au Festival du livre de Paris, au stand de l’Algérie.

Pour autant que je sache, ce sera la seule et unique occasion de se procurer le livre en France.

Malheureusement, l’entrée est payante. Grand Palais éphémère, 2 place Joffre, Paris 7e, Aile Eiffel, repère A32.

Tous les détails ci-dessus disent assez éloquemment quel malentendu il y a entre moi et la vente de littérature.

Que trament les fillettes ?

VOTRE ROMAN FEUILLETON ILLUSTRÉ…

Dans le cadre du projet QUE TRAMENT LES FILLETTES ? initié par Plaine Commune avec le soutien des villes d’Aubervilliers et Saint- Denis, La Fabrique des Impossibles et les Grandes Personnes vous invitent à un atelier d’écriture et d’échanges animé par Jean-Baptiste Evette, écrivain

Mercredi 25 septembre, à 15h et/ou 17h30 à la Maison pour Tous Henri Roser, 38 rue Gaëtan-Lamy, 93300 Aubervilliers, atelier gratuit et ouvert à tous.

Seront notamment à nos côtés l’association Memoire vivante de la plaine et la Société d’Histoire d’Aubervilliers, roman-feuilleton participatif épisode après épisode !

Nouveaux ateliers Ancêtres

ANCÊTRES AU BOURGET, UNE INVITATION À CRÉER
Depuis 2012, les spectacles participatifs Ancêtres retracent les aventures qui ont fini par réunir nos aïeux depuis leurs diverses régions ou pays d’origine. Mêlant scènes du quotidien et aventures, ils reposent sur des figurines articulées, sculptées par les participants. Tenant à la fois de la poupée, de la marionnette et de la statuette, ces figurines racontent le travail, les voyages, l’exil, la résistance, l’amour et surtout matérialisent le lien mystérieux et invisible que chacun de nous entretient avec ses ancêtres.
S’ils sont souvent drôles et touchants, s’ils ressemblent justement à un jeu d’enfant, avec figurines et accessoires, ces spectacles n’esquivent pas forcément les épisodes violents ou tristes, mais ils les abordent toujours avec simplicité, mesure et discrétion, et la présence des statuettes crée une médiation qui permet une distance et l’expression de la tendresse.


CALENDRIER
28 janvier 2019 : présentation du projet
Fin janvier et février 2019 : ateliers de paroles et d’écriture (avec Jean-Baptiste Evette)
Mars à juin 2019 : ateliers de construction et de sculpture
Septembre à décembre 2019 : ateliers mise en scène et jeu
Représentations en décembre 2019 et en 2020
Avec Sham LeBourget, la Ville du Bourget la Drac Île-de-France (Ministère de la Culture).

Fragments d’un voyage à Biskra

L’Algérie d’entrée transforme mon voyageur en benêt, il dit merci cent fois par jour, sourit à tout le monde et s’émerveille de tout, comme frappé d’insolation ou enivré par un enchantement.

Il faut dire qu’il est accueilli avec une amabilité et une grâce si parfaites qu’il se sent immédiatement comme dans son propre pays.

Sur le boulevard, en bordure d’Alger, en bordure de la mer, un chauffeur de taxi crée un espace de prière, en posant un petit tapis sur un coin de trottoir, et là il est seul et recueilli avec son Dieu, malgré la circulation automobile.

Le soleil d’hiver là-bas ressemble à celui de notre printemps, et les taxis collectifs inter-wilayas reluisent. Des hommes en burnous crient « Biskra, Biskra ! », car on attend que la voiture soit remplie pour partir.

Enfin, le taxi démarre, fusée un peu suicidaire lancée vers le Sud. Sa galerie siffle comme une harpe éolienne.

Il souffle un grand vent de poussière, un grand vent de fumée de pots d’échappement, mais les hommes ne deviennent pas fous et se contentent de plisser les yeux pour mieux voir.

Ici, semble-t-il, on n’a pas le culte du passé, pas de dévotion pour les édifices anciens, par endroits le pays semble avoir surgi de terre il y a vingt ou trente ans.
Continuer la lecture de « Fragments d’un voyage à Biskra »