Résidence à la Villa Mais d’Ici d’Aubervilliers

Faut-il le dire, de janvier à octobre 2013, je suis accueilli en résidence à Aubervilliers, dans la Villa Mais d’Ici, rue des Cités, sur un financement de la région Ile-de-France.
On m’y trouvera plus facilement le mardi et le mercredi. Au programme, mémoire et transformation de la ville, ateliers d’écriture, réalisation d’un livre sur la Villa et son quartier. Et puis un projet de roman intitulé pour l’instant Leila disparue.

Mon arrivée à Aubervilliers

Carte postale issue de la collection des archives municipales d’Aubervilliers.

La résidence sur le site remue.net

La résidence sur le site de la Villa Mais d’Ici

 

Si, si à Sées

À l’invitation de l’excellente librairie de l’Oiseau-Lyre, je serai à Sées le 12 décembre, dans les anciennes halles de la ville.

Le 13 juin 2009

Le 13 juin 2009 je serai à Jaligny sur Besbre dans l’Allier, car dans une vie antérieure j’y ai reçu le prix René Fallet pour un premier roman. C’est la Journée littéraire de l’association « Agir en pays jalinois ».

Mai à Valenciennes

J’ai été cordialement invité par l’association « Festi-Livres Nord » au salon du livre de Valenciennes les 14, 15 et 16 mai 2009 et j’y serai assurément, si le démon ne m’étouffe pas d’ici là.

P.-S. J’en reviens et j’ai été accueilli avec une générosité et un intérêt rares.

Comme 300 autres menteurs, mendiants et poètes

Comme 300 autres menteurs, mendiants, coupeurs de phrase en quatre, collectionneurs de mots, vedettes de la télévision, héros de la téléréalité, et aussi littérateurs et poètes, je serai à la fête du livre de Lyon, sous un chapiteau planté place Bellecour (les salons du livre ressemblent à des cirques !). Avis à mes amis de Lyon et d’alentour, ce sera les 8 et 9 novembre 2008 !
Notons que je n’y serais pas allé sans les éditions de la Mirandole et sans Jack Chaboud, éminent lyonnais s’il en est.

Feuilles mortes

J’ai oublié de dire que j’étais à Nocé, en octobre, à la fête du livre organisée par l’association Agora, d’intéressants voisins.

À Perros-Guirec les 26 et 27 octobre

À l’invitation de Cap sur les Arts, Jean-Baptiste Evette, romancier, a prévu de se livrer à un éloge de la bâtardise, de l’illégitimité, de la bigarrure et de l’impureté dans l’art en général et dans le roman en particulier. Il veut ainsi réfléchir, avec l’absence de modestie qu’on lui connaît, à des questions qui le tourmentent : de quel droit écrit-on (crée-t-on) ? Qu’est-ce qu’un roman ? Qu’est-ce qui relève de l’art (de la littérature), qu’est-ce qui relève de la production de masse ? Qu’est-ce qu’un créateur ? Qu’est-ce qu’un manteau d’arlequin ?
Malheureusement, vu la nature multiple de sa personnalité (le romancier étant contraint par son métier à être un autre et même plusieurs autres, au point de frôler la schizophrénie) il est à craindre que d’autres conférences, voire d’autres conférenciers s’invitent dans son discours et abordent d’autres sujets que celui qui était prévu à l’origine. Nous espérons que chacun saura démêler les fils…